Et si vous changiez votre regard sur l’échec ?

« Les vertus de l’échec » est un livre qui nous réconcilie avec la défaite, le non-succès, le fiasco, le capotage, etc. Les succès viennent rarement sans accroc… Regardez Rafael Nadal et Steve Jobs. Ils ont tout deux essuyé des revers cuisants avant de s’accomplir.

En France, on se focalise beaucoup sur l’échec et souvent cela nous bloque pour avancer, nous motiver et progresser. À contrario, dans certains pays comme les Etats Unis, la culture du « fail fast » est vue comme une expérience et un atout au développement. Échouer n’est pas une faiblesse, ni une faute ou un manque d’audace mais tellement plus !

Je vous conseille de lire ce livre, cette pépite qui vous permet de relativiser et qui vous guide sur la voie d’une réussite authentique.

Ce livre se compose de chapitres de plus en plus intrigants, intéressants et innovants :

• L’erreur est un moyen de savoir ce qui n’a pas fonctionné, le « pourquoi » vous faites face à une défaite. Cela permet de faire mieux la seconde fois.

Le philosophe Bachelard dit que « celui qui sait reconnaître son erreur initiale, trouvera la force de la rectifier ». À méditer.

• L’échec pour s’affirmer, pour se réinventer.

Sartre, philosophe, explique bien que nous sommes libres d’exister, de nous inventer et de nous rectifier dans le temps de notre vie. Apprenez pourquoi vous avez perdu, apprenez pourquoi vous avez échoué, retenez la leçon et réessayez.

• L’échec c’est aussi apprendre à oser.

Ce livre cite l’exemple de Zlatan au PSG qui s’est donné les moyens de réussir avec ses buts hors normes. Il a testé des techniques que personne n’a osé faire et cela en sortant de sa zone de confort.

La zone de confort, cette zone qui nous rassure mais qui nous bloque dans un système de vie banalisée.

Lors de notre apprentissage, apprentissage de la vie, apprentissage du trading, ou même lors de nos trades, nous pouvons être confrontés à des échecs. Nous pouvons nous retrouver face à un mur, mur symboliquement très haut et très épais. Ce mur qui nous empêche d’avancer.

Votre pensée doit être inversée.
N’ayez pas peur d’échouer, de perdre et de rater. Cela vous fait progresser.

Personnellement ce livre m’a aidé et accompagné dans une période de ma vie professionnelle très compliquée et inachevée.

J’ai subi du harcèlement au travail, harcèlement avec mes collègues et harcèlement avec mon responsable, sur mon premier emploi en CDI, à la sortie de l’université. Choc total lorsque l’on découvre cet aspect du monde du travail. J’étais fière d’être cadre et j’ai dû partir car cela jouait sur ma santé. Grâce à cet ouvrage, j’ai pu rebondir et j’ai découvert que cet échec cuisant a forgé mon caractère. J’ai pu faire le tri entre le bon, le mauvais et ressortir en position de force. J’ai appris à mettre de côté les critiques, ou du moins à les assimiler qu’elles soient bonnes ou mauvaises. J’ai appris à prendre du recul sur des situations qui engendraient du stress.

Par exemple, lorsque mon responsable hiérarchique me fait une critique négative, si elle est fondée elle me fait dorénavant avancer. Si je n’atteins pas mes objectifs (objectifs de vente au travail), je ne vois plus cela comme un échec mais comme un point crucial que je dois travailler.

Aujourd’hui j’ai atteint mon objectif professionnel grâce à mon travail dans le social la journée et le business avec FWA les soirs et weekends. Cet échec a donc été un « heureux  accident ».

Maintenant j’ai confiance en moi ; chaque « échec » me permet de grandir et me motive.

Ce bouquin m’a donc permis d’être persévérante, sincère et positive dans mon travail au quotidien et depuis quelques mois chez FWA. J’ai appris à me relâcher, et surtout à EXISTER.

Ce livre est le reflet des valeurs essentielles qui nous composent et qui composent la vie que nous souhaitons et non la vie que nous subissons : la persévérance, la motivation, et surtout la réussite.

Lorsque vous voulez quelque chose, même si c’est dur, même si il y a des hauts et des bas, gardez le cap, vous réussirez. Charles Pépin l’explique parfaitement dans ce livre.

« Nos échecs sont de véritables trésors. Il faut prendre le risque de vivre pour les découvrir, les partager et pour en estimer le prix. »

Je recommande ce livre à toutes celles et tous ceux qui se confrontent à l’échec et ne veulent pas ou plus avancer. Il vous permettra de mettre la lumière sur ce qui doit vous définir pour réussir. Il vous montrera comment chaque épreuve peut vous rendre plus vivant, plus combattif.

Avec ce livre vous apprendrez à réussir là où vous pensez échouer.

Allez y, essayez, échouez et progressez !

« Jetez-moi aux loups, je reviendrai chef de meute. »

Sarah Doux,
Salariée et FWA Ambassador

L’article Lecture inspirante – “Les vertus de l’échec » de Charles Pépin est apparu en premier sur Become a Freedom and Wealth Architect.

Choisir sa vie de Tal Ben-Shahar est en quelque sorte un rappel de tout ce qui se dit sur la pensée positive. Nous pouvons cependant y trouver des exemples concrets et c’est exactement pour cela que ce livre a le mérite d’être partagé.

Ce livre ne se résume pas, il se découvre en fonction de votre personnalité et de votre vécu. C’est une invitation à la réflexion.

Tourner la page, écrire un nouveau chapitre

Les 101 chapitres sont construits sur le même schéma, certains sont parfois simplistes mais ils permettent cependant de réfléchir. Voici un aperçu :

• Chapitre 45 : « Rester indifférent – OU – Apporter son aide et sa contribution »
• Chapitre 72 : « Céder à la peur et au manque de confiance en soi – OU – Avoir peur mais se lancer quand-même »
• Chapitre 94 : « Rester une victime passive – OU – Être acteur de son destin »

Cette division en deux idées opposées permet à chacun de s’identifier dans une situation néfaste et de trouver le moyen d’en sortir. En plus des différents thèmes présentés, des citations permettent de comprendre la nécessité de faire un choix.

Je m’appuie régulièrement sur l’une d’entre elles pour encourager mes amis (en grande partie des étudiants ou jeunes salariés) à ne pas se laisser démonter et à penser positif : « le véritable ennemi de la performance n’est pas le stress […], mais l’absence de temps de récupération judicieusement réparti. » Prenez du temps pour vous, détendez-vous et laissez-vous le temps d’analyser votre quotidien afin d’en extraire les plus gros choix qui ont été faits jusqu’ici. Vous n’êtes pas satisfait(e) ? Désormais il faut tourner la page et vous le savez, vous êtes la seule personne à pouvoir changer les choses.

Je vous conseille de vous appuyer sur ce livre, riche en témoignages et en solutions adaptées à votre personnalité. Il doit rester accessible à tout moment et doit être consulté autant de fois que nécessaire : il est le guide du développement personnel.

Soyez prêt(e), le changement se prépare.

Faire le premier pas : tirer un trait sur le passé

Partout nous entendons qu’il faut se contenter de ce que la vie nous a donné – à juste titre, c’est la définition même du bonheur –, mais certain(e)s comprennent à tort que nous ne devons pas chercher plus de satisfaction. Bien au contraire, pour accéder à une vie meilleure et être plus heureux/heureuse il faut impérativement sortir de sa zone de confort. Certaines décisions sont difficiles à prendre, c’est vrai, mais « choisir sa vie » propose d’abord d’observer les choses sous un autre angle.

Lorsqu’un(e) ami(e) vous parle de ses problèmes, vous allez chercher ensemble des solutions en exposant chacun votre point de vue et vos arguments, n’est-ce pas ? Vous pouvez faire de même pour vous, en travaillant seul(e) : faites une liste écrite de tout ce qui vous empêche d’avancer, de vos problèmes et de vos émotions négatives. Ensuite, mettez-vous à la place d’une personne qui vous veut du bien et trouvez quelles sont les actions rapides et efficaces à faire pour rétablir la situation.

Vous manquez de sommeil à cause d’un voisin qui tape du pied toutes les nuits, malgré vos avertissements ? La seule option à court terme est le déménagement.

Une amie vous partage ses pensées fatalistes et sa mauvaise humeur à chaque rencontre ? Prendre des distances est sans doute la solution la plus radicale…

Faire des choix maintenant permettra de vous épanouir et de faire face aux prochains obstacles avec plus d’assurance. Prendre connaissance des quelques méthodes de ce livre sera déjà un premier pas significatif.

N’ayez pas peur des mauvais choix, les regrets n’existent pas si vous écoutez votre cœur.

Rien n’est simple mais tout est possible

Peut-être que certain(e)s d’entre vous croient au destin ? Personnellement je pense que si nous demandons, nous recevons. Chaque conseil donné par Tal Ben-Shahar peut être appliqué à un domaine, en se l’appropriant nous arrivons à améliorer notre quotidien, que ce soit sur du court terme ou sur une vision plus lointaine.

Cet ouvrage m’a poussé à prendre des décisions et faire de meilleures actions pour mon avenir.

Sur le plan professionnel, en m’efforçant d’être sincère, j’ai pu engager le dialogue avec mon supérieur, lui avouant que je ne maitrisais pas certaines compétences. Aujourd’hui je suis épanouie grâce aux solutions que nous avons trouvées ensemble.

Le mal-être qui nous empêche parfois d’avancer peut être écarté et parfois même totalement détruit au fur et à mesure que l’on fait des choix.

J’ai de forts complexes liés à mes problèmes de peau, ce qui m’empêche de réaliser mon quotidien normalement et ce qui tourne certaines situations en ridicule. Sortir sans maquillage m’était quasiment impensable il y a encore quelques mois et j’étais prête à me remaquiller le soir, pendant seulement 30 minutes avant mon coucher juste parce que j’avais un appel FaceTime avec quelqu’un. Je n’allais pas à la piscine pour ne pas me faire violence et je ne mettais pas la tête sous l’eau à la plage par peur du jugement.

Désormais je fais toutes ces choses et je profite mieux de la vie, même si j’ai encore un travail énorme à effectuer, je m’appuie sur les conseils des médecins, je suis en bonne voie.

Prenez le temps de définir votre objectif, et ensuite ne le lâchez plus ! Tout est possible si vous y croyez et arrêtez de chercher des excuses : vos problèmes de santé n’ont pas de lien avec votre capacité à réaliser vos rêves. Beaucoup de personnes ont connu le succès en grande partie grâce à leur volonté et elles sont aujourd’hui la preuve que vous n’avez pas le droit d’abandonner. Il faut s’autoriser à être humain, comprendre son corps et ensuite apprendre à agir en fonction de ce que la vie nous a donné, se débarrasser de ce qui nous empoisonne. Vous pouvez le faire.

« Vous voulez deux fois plus de succès ? Alors doublez votre taux d’échecs » T. WATSON

L’équation est simple, apprendre à échouer ou échouer à apprendre.

Aussi, je recommande cet ouvrage à tous/toutes ceux/celles qui sentent un manque, un vide à combler pour être plus heureux/heureuse et qui veulent profiter pleinement du temps que la vie nous offre.

J’ai la conviction que nous sommes tous maîtres de notre destin et qu’il n’est jamais trop tard pour agir.

Choisissez votre vie.

Victoria Guinche,
Salariée et FWA Ambassador

L’article Lecture inspirante – “Choisir sa vie », l’art de saisir sa chance, par Tal Ben-Shahar est apparu en premier sur Become a Freedom and Wealth Architect.

La première fois que j’ai lu « père riche, père pauvre » c’était en 2014 pendant mon tour du monde. D’ailleurs je vais vous faire une confidence, c’est véritablement le 1er livre que j’ai lu de toute ma vie (j’avais 34 ans à ce moment-là) et je l’ai même lu 4 fois pour bien assimiler tous les précieux conseils prodigués par son auteur.

Depuis j’ai lu d’autres livres quand même mais c’est ce livre qui m’a permis de faire ce que j’entreprends aujourd’hui en surmontant ma peur du passage à l’action.

Depuis mon premier job en CDI en 2001, j’ai toujours eu ce profond sentiment de ne pas être à ma place en tant que salarié mais plutôt d’être destiné à entreprendre, à créer de moi-même, à être mon propre patron. Je suis sûr que vous voyez ce que je veux dire… Mais voilà, à l’époque j’avais peur de me lancer, d’essayer, je n’avais pas le courage de voler de mes propres ailes.

La peur m’empêchait de faire ce que je voulais ; c’est d’ailleurs aujourd’hui la raison n°1 qui empêche beaucoup de personnes de quitter leur métier actuel pour faire ce qu’ils veulent vraiment.

Je parle bien sûr de la peur de quitter un CDI pour entreprendre par soi-même sans garantie de revenus à la fin du mois ; les excuses « je suis trop jeune pour entreprendre », « j’ai un loyer/des factures à payer (mais aussi des bouteilles à 100€ pour une sortie le week-end, les dernières chaussures à la mode, la dernière Audi ou BMW, etc.) sont secondaires en réalité.

Personnellement je regrette aujourd’hui de ne pas m’être lancé plus tôt, tout comme de ne pas avoir lu ce livre à 18/19/20 ans.

En effet, quand on lit ce livre on apprend énormément de choses, de leçons essentielles pour construire sa richesse et devenir financièrement indépendant. La plus importante parmi toutes celles que l’on découvre dans ce livre est l’INTELLIGENCE / l’ÉDUCATION FINANCIÈRE ! 

L’argent est une forme de pouvoir mais l’Éducation Financière est bien plus puissante encore.

Parmi les leçons et conseils donnés dans ce best seller qui me servent énormément aujourd’hui dans ma quête de l’Indépendance financière, il y a :

• « Les riches ne travaillent pas pour l’argent… Je ne travaille pas pour l’argent, mais l’argent travaille pour moi ! Nous ne sommes pauvres que si nous capitulons… Ce qui compte le plus, c’est de passer à l’action. »

• « Ce qui compte dans la vie ce n’est pas combien d’argent vous faites, mais combien d’argent vous parvenez à conserver… Les gens riches acquièrent des actifs. Les pauvres et la classe moyenne acquièrent des éléments de passif mais ils croient que ce sont des actifs. »

• «  Les riches engendrent l’argent… Souvent dans le monde réel, ce n’est pas le plus intelligent qui prend les devants, mais le plus audacieux. »

• « Ce que je connais constitue ma plus grande richesse. Ce que je ne connais pas représente mon plus grand risque. Étant donné que le risque sera toujours là, il faut apprendre à le gérer au lieu de l’éviter. »

• « La principale différence entre une personne riche et une personne pauvre est leur capacité à gérer la peur. »

• « Gagner signifie ne pas avoir peur de perdre – L’échec inspire les gagnants et met en déroute les perdants – Il faut toujours essayer de transformer un désastre en bonne occasion – Il faut avoir du cran et de la patience face à l’échec – L’échec transforme les perdants en gagnants. »

• « Il y a de l’or (des opportunités) partout (message subliminal aux gilets jaunes) sauf que la plupart des gens ne sont pas entraînés à le voir. »

• « Rencontrez d’abord des gens qui veulent acheter puis cherchez quelqu’un qui veut vendre (acheter une tarte et la séparer en plusieurs morceaux). Pour s’enrichir davantage, il faut voir d’abord plus grand. »

• « Penser grand : acheter à plusieurs pour avoir une ristourne, négocier les tarifs… »

• « Apprendre de l’histoire : toutes les grandes entreprises à la Bourse ont d’abord été de petites entreprises. »

Voici maintenant comment je résumerais ce fabuleux et puissant livre, au travers de 10 étapes vous permettant de développer vos compétences :

1 – Trouver une raison plus grande que nature – Le pouvoir de l’esprit

Raison =  une combinaison de « je ne veux pas » et de « je veux » profondément émotifs.

2 – Faire des choix quotidiens – Le pouvoir du choix

Chaque euro qui passe dans nos mains nous accorde le pouvoir de choisir notre avenir : être riche, pauvre ou dans la classe moyenne.

3 – Choisir mes amis prudemment – Le pouvoir de l’association

Ne pas choisir mes amis d’après leur bilan financier. L’essentiel est d’apprendre de chacun de mes amis. Un profit se fait à l’achat, pas à la vente ; autrement dit un investissement s’achète quand il n’a pas la côte. Avoir des amis riches (« initiés ») permet d’obtenir des informations qui contribuent à notre intelligence financière qui nous amène, elle, à faire de l’argent.

4 – Maîtriser une formule et en apprendre une nouvelle – Le pouvoir d’apprendre rapidement

On devient ce qu’on apprend. Ce qui compte c’est à quel point on peut apprendre rapidement.

5 – Me payer en priorité – Le pouvoir de l’autodiscipline

Ne pas se maîtriser soi-même signifie ne pas devenir riche car faire de l’argent et le gaspiller bêtement n’a aucun sens, c’est inutile !

6 – Bien rémunérer mes conseillers, mes courtiers – Un bon conseil représente une grande force

Avocats, comptable, courtiers immobiliers, courtiers en valeurs mobilières, consultants financiers, CGP/CGPI… Tous leurs conseils me permettent de grandir et méritent d’être payés à hauteur de cet enrichissement.

7 – « Donner à l’indienne » – Le pouvoir d’acquérir quelque chose gratuitement

Dans combien de temps le capital investi me sera-t-il remboursé ? Il faut voir plus loin que le seul taux de rendement du capital investi. Il existe des actifs qu’on obtient gratuitement quand on vous rembourse votre capital investi ; c’est de l’Intelligence Financière.

8 – Se payer du luxe grâce à ses actifs – Le pouvoir de se concentrer

Ne pas acheter à crédit !

9 – Choisir des héros – Le pouvoir du mythe

En ayant des héros (Will Smith, Michaël Jordan, Tony Parker, Warren Buffet…), on exploite une formidable source de pur génie. On agit inconsciemment comme eux. En plus de nous inspirer, les héros nous donnent l’impression que leurs exploits sont faciles à accomplir. S’ils peuvent le faire, je le peux aussi.

10 – Enseigner pour recevoir – Le pouvoir de donner

Principe de réciprocité = je donne donc je devrais recevoir. Il suffit de partager généreusement ce que j’ai.

Sans oublier surtout que « L’action surpasse toujours l’inaction, alors AGISSEZ maintenant ! ».

Arnault Mousset,
Consultant financier et immobilier, FWA Top Ambassador

L’article Lecture inspirante – “Père riche, père pauvre” de Robert T. Kiyosaki est apparu en premier sur Become a Freedom and Wealth Architect.

Samy Ahmed a un livre fétiche : « réfléchissez et devenez riche », un best seller de Napoleon Hill qui a fait évoluer bien des mentalités. Parce que ce livre lui a beaucoup apporté, il a tenu a partagé son ressenti vis-à-vis de ce dernier pour vous donner, à vous aussi, envie de le lire (si ce n’est pas déjà fait) afin de vous enrichir (dans tous les sens du terme).

Comment j’ai connu ce livre ?

Pendant la période où je me cherchais encore – celle où, comme je l’ai dit dans mon récit de vie, je suivais des entrepreneurs sur Instagram pour trouver ma voie, m’inspirer d’eux, de ce qu’ils ont fait, me motiver etc – j’ai vu plusieurs fois que la lecture et le savoir sont très importants pour réussir tout ce que l’on entreprend.

Grand lecteur que je suis – je regardais les films et résumés des livres à lire pour les cours au lieu de les lire –, j’ai décidé de m’y mettre. J’ai lu plusieurs petits ouvrages sur le développement personnel, comment gérer ses finances etc. et j’y ai pris goût.

Puis je suis tombé sur des listes de livres qu’il faut absolument lire et « Réfléchissez et devenez riche » de Napoleon Hill ressortait assez souvent ; soyons honnête, le titre est accrocheur… Un certain Bob Proctor y est également pour beaucoup dans le succès de ce livre, c’est un auteur, entrepreneur et speaker à succès.

D’après lui c’est ce livre qui a changé sa vie. Il intervient d’ailleurs dans le documentaire « le secret » pour retransmettre ce qu’il a su tirer de cet ouvrage. Sa manière de s’exprimer lui est propre, il utilise des mots et tournures tellement puissantes qu’il peut vendre n’importe quoi. Je me souviens d’une vidéo de lui avec un livre tellement usé qu’il a dû le lire des dizaines et dizaines de fois, le souligner, le surligner à tout-va, etc. C’était de ce livre de Napoleon Hill dont il s’agissait. Je me suis dit qu’il n’avait aucun intérêt à mentir pour le vendre comme il l’a fait, ce qui m’a conforté sur la qualité de ce livre. J’ai donc commencé à le lire et j’ai accroché dès le début.

Ce que ce livre a changé pour moi

J’avais déjà en moi les bases des différents principes qui ressortent de ce livre mais je peux dire sans aucun doute que la lecture de « réfléchissez et devenez riche » est la plus grande source de mon mindset, de ma détermination et de ma vision.

Ce livre a été l’élément déclencheur de pratiquement tous mes raisonnements sur l’humain, la réussite, etc., parce que oui, je fais des raisonnements avec moi-même.

Globalement, ce livre est le fruit d’une vingtaine d’années de recherches auprès de plusieurs centaines de personnes à succès qui ont un secret en commun à chaque fois. À vous d’être prêt(e) à trouver ce secret sous-entendu à travers ce livre !

Vous y retrouverez tous les principes fondamentaux de la réussite dans n’importe quel domaine – et si vous lisez cet article, je suppose que vous êtes intéressé(e) par le sujet – à savoir :

• La pensée constructive
• Le désir
• La foi
• L’autosuggestion
• La spécialisation
• L’imagination
• Le plan
• La décision
• La persévérance
• Le mastermind
• Le pouvoir de l’énergie sexuelle
• Le subconscient
• Le cerveau humain
• Le sixième sens: la médiation
• Vaincre la peur

Je vous partage également 5 citations issues de ce livre qui m’ont profondément fait réfléchir et rebondir sur plusieurs autres thématiques de la réussite.

« Plus d’or a été extrait de l’esprit des hommes que de la terre elle-même. »

Notre esprit a une infinité de ressources et de combinaisons, de création de valeur, tandis que la Terre, elle, a des ressources limitées.

« Le chemin vers la réussite passe par l’apprentissage continu de nouvelles connaissances. »

C’est comme si un enfant se disait, je sais faire du vélo – parce qu’il a réussi à faire uniquement 2 mètres sans petites roues – donc je n’ai plus besoin de m’entraîner. Il sera surpris quand il reprendra son vélo le lendemain… C’est exactement pareil quand on a un minimum de connaissances et que l’on se dit « j’en connais assez, je n’ai pas besoin de m’instruire plus que ça ».

« Il n’y a pas de limites à l’esprit hormis celles que nous nous imposons. »

Si on se dit que l’on ne pourra pas faire quelque chose, si on décide que faire cette chose est impossible, alors elle sera impossible ; l’inverse est vrai aussi.

« Le point de départ de toutes réalisations est le désir. Gardez cela constamment à l’esprit. Un faible désir engendre de faibles résultats. Tout comme un petit feu émet peu de chaleur. »

Combien de personnes avez-vous entendu dire « j’aimerais… » ? Beaucoup. Et combien d’entre eux ont atteint cette ambition ? Pas beaucoup.

Combien de personnes avez-vous entendu dire « je veux… et je vais l’avoir » ? Pas beaucoup. Et combien d’entre eux ont atteint cette ambition ? Beaucoup et je mets ma main à couper que les autres sont dans la bonne direction.

La différence entre les deux est que la première catégorie émet juste un souhait, la deuxième émet elle ce qui ressemble davantage à un besoin, un désir profond.

« Autant le succès que l’échec sont en grande partie les résultats de l’habitude ! »

Prenons un exemple simple : un fumeur qui ne fait pas de sport et un sportif qui ne fume pas. Je vous laisse deviner qui parmi eux est le plus susceptible d’avoir des problèmes de santé et qui en aura moins.

Ces habitudes marchent partout, dans tous les domaines.

Si on prend l’habitude de faire des petites actions qui nous mènent vers ce que l’on veut, on y arrivera.

Si on prend l’habitude de faire des actions contreproductives et inutiles, ou même de ne rien faire, eh bien même avec toute la bonne volonté du monde ça ne marchera pas.

Un petit bonus pour la fin :

« Quel que soit ce que l’esprit de l’homme peut concevoir et croire, il peut l’atteindre. »

Je vous laisse méditer là-dessus et vous verrez que tout est lié.

C’est la fin de cet article, j’espère avoir pu vous donner envie de lire le livre « réfléchissez et devenez riche » si ce n’est pas déjà fait car il est vraiment enrichissant, pour quiconque. En tout cas, pour moi, il est toujours en tête de liste, si ce n’est le premier, quand une personne me demande de lui conseiller des lectures.

Samy Ahmed,
Entrepreneur et ambassadeur FWA

L’article Lecture inspirante – « Réfléchissez et devenez riche » de Napoleon Hill est apparu en premier sur Become a Freedom and Wealth Architect.

L’école de la vie

« On est toujours plusieurs à rire en cours, mais on se sent ensuite très seul à la vue du sujet de l’examen ou devant le résultat de celui-ci. »

Cette leçon est la plus importante de celles que j’ai pu apprendre lors de mes études qui furent d’une durée relativement restreinte. C’est aussi la deuxième leçon la plus importante que j’ai pu apprendre dans ma vie, qui est actuellement d’une durée de 25 ans.

Entrepreneur, investisseur, apporteur d’affaires, grand amateur de trains, j’ai eu la chance de naitre au sein d’une famille aimante et de parents ayant connu des succès professionnels grâce à un travail acharné et une bonne dose de courage.

Néanmoins, du collège jusqu’au début de mes études supérieures, je n’ai fait preuve ni de travail acharné ni de courage.

Ayant connu de nombreux déménagements, j’ai pu acquérir la capacité de « m’enraciner » et me « déraciner » très vite d’un endroit ou d’un autre ; c’est ce qui m’a permis d’étoffer mon cercle d’amis et de connaissances.

Elève rêveur, je me contentais du minimum et mes professeurs m’ont toujours mis en garde contre ma tendance à en « garder sous la semelle ». Cependant ces avertissements ne me touchaient pas, tout simplement parce que je n’avais pas vraiment d’objectifs à atteindre.

Première épreuve

Ma vie a commencé à prendre une autre tournure lorsque mes parents nous ont annoncé, à moi et à mes sœurs, que nous connaissions d’importants soucis financiers. Malgré le succès professionnel, nous vivions au-dessus de nos moyens et tout cela s’est arrêté brutalement, au moment où j’entrais en faculté de Médecine, sans réelle conviction, en 2011 à l’âge de 17 ans.

Après l’équivalent de 3 semestres, j’ai décidé de stopper net ces études qui ne m’épanouissaient pas. En 2013 je me suis donc retrouvé à vivre chez ma mère, pendant qu’elle traversait un divorce.

J’étais perdu, je voulais simplement « gagner de l’argent » et je dois avouer que j’ai envisagé tous les moyens possibles pour y parvenir.

Dix mois durant, j’ai adopté un style de vie extrêmement improductif me nourrissant d’écrans, de jeux, de restes de repas et de grasses matinées, à me poser des questions concernant ma place dans ma famille, ma place dans la société, mes qualités, mes défauts.

Premier tableau d’honneur et première punition

Et j’ai obtenu une réponse à mes interrogations lorsqu’un ami du lycée est venu à ma rencontre pour me parler du marketing relationnel.

Souvent adorée, souvent critiquée, très rarement maitrisée et comprise ; quoique vous puissiez en penser c’est cette industrie qui m’a sauvé la vie.

J’ai très vite obtenu d’excellents résultats, trouvant enfin une scène où exprimer mes ambitions et me permettant de tracer ma propre voie, pas celle que l’on voulait que j’emprunte.

Malheureusement, après quelques mois à savourer ce succès qui m’avait fait perdre de vue mon objectif final, j’ai connu le premier mur de ma vie d’entrepreneur.

J’ai continué à chercher de nouvelles solutions, de nouveaux partenaires, de nouvelles méthodes et c’est ainsi que j’ai pu rencontrer les personnes qui ont fait de moi ce que je suis aujourd’hui.

Nous avons monté notre propre société mais là aussi, nous avons rencontré un mur. Nous étions jeunes et inexpérimentés et cette première société a dû être stoppée, le temps que nous puissions chacun nous reconstruire, professionnellement et financièrement.

Leçon de vie

Endetté, sans revenu et détenteur d’un CV poids plume option « Bac+0 » et supplément « pas d’expérience en emploi salarié », j’ai alors entrepris de trouver un travail.

De fin 2015 à fin 2016, j’ai écumé les restaurants, les agences d’intérim, les bars, les magasins et j’ai pu décrocher un job en tant qu’agent d’accueil qui me permettait de survivre, littéralement.

Je me suis retrouvé à court de solutions et ce, jusqu’à novembre 2016 ; mois durant lequel j’ai fait la découverte heureuse de FWA. Aussi cliché que cela puisse paraître, tout a basculé et j’ai pu renouer avec le succès, accroître considérablement mes revenus, redessiner mes perspectives professionnelles, rencontrer des associés, des amis, des gens qui comptent vraiment pour moi et qui ont métamorphosé mon quotidien.

Ce court témoignage n’a pas pour but de promouvoir FWA ou d’inciter les personnes qui n’adhèrent pas à ce club à franchir le pas absolument. Mais il est une preuve de plus, s’il en fallait encore, que la vie est en dents de scie et qu’il faudrait alors l’utiliser pour couper les choses qui nous empêchent de décoller, nos peurs, notre égo, nos doutes.

Je ne peux pas savoir quel sera le prochain mur qui se dressera sur ma route mais je suis entièrement convaincu et persuadé que je possède les ressources qui seront nécessaires pour le franchir, quelle que soit sa hauteur.

Et ça, c’est la leçon la plus importante que j’ai pu apprendre, celle qui me permet d’avancer au quotidien. Vous savez désormais où j’ai pu l’assimiler et ce qui m’a permis de la comprendre concrètement.

Gaultier Hazoumé,
Entrepreneur et Top Ambassador FWA

L’article Récit de vie – Le parcours de Gaultier Hazoumé est apparu en premier sur Become a Freedom and Wealth Architect.

Égypte : là où tout a commencé

Je m’appelle Samy, j’ai 20 ans, je suis franco-égyptien et je suis né en Allemagne.

J’ai vécu 13 ans de ma vie en Egypte, l’un des pires moments de ma vie. Je n’étais pas bien dans ma peau, j’étais ce gars invisible et susceptible qui enviait les autres personnes autour de qui tournait toute l’attention en pensant que personne ne m’aimait et que j’étais inintéressant. Je pense que cette « nature » venait du fait que j’étais inscrit dans une école où il y avait des gens fortunés, tout le contraire de ma famille. Ça a d’ailleurs planté une graine en moi… Ce passage est important pour plus tard ;).

J’allais voir ma famille du côté de ma mère en France un an sur deux, je voulais continuer mes études là-bas car je suivais un cursus français et que les diplômes français valent plus que les « diplômes locaux ». J’avais quand même pour ambition de retourner travailler en Egypte ensuite pour avoir une grande carrière dans… je ne sais trop quoi (?), mais j’étais très attaché au fait de finir le lycée en Égypte avec mes amis et de poursuivre mes études en France.

Du moins jusqu’au moment où la révolution égyptienne a éclaté (pour ceux qui ont suivi les infos). Tous ceux qui pouvaient partir le faisaient. Beaucoup de connaissances se sont fait rapatriées en France dans les 24 heures après l’appel de l’ambassade. D’ailleurs nous avions dû faire cours en ligne plusieurs fois car il était trop dangereux de faire le trajet en bus. Il y avait un couvre-feu, nous avons même dû veiller devant nos immeubles à tour de rôle pour « monter la garde » et pour couronner le tout, il y avait un char à côté de chez moi…

Mon arrivée en France : la graine est plantée

J’étais content malgré tout à l’idée que j’allais rester avec mes amis, ma famille du côté de mon père, etc. Pour au final apprendre que l’on allait partir vivre en France, chose que nous avons faite. Une année est passée et c’était assez difficile de s’intégrer dans le petit village natal de ma mère et ses alentours, nous avons donc finalement décidé de revenir en Egypte et de rester quoi qu’il arrivait… Puis, de nouveau un an après cette ferme décision, nous sommes finalement revenus en France une seconde fois !

Ce fut une énorme mauvaise surprise que j’ai appris 3 jours avant le départ, je crois que je m’en rappellerai toujours. C’est le premier tournant que ma vie a pris.

Le deuxième mauvaise surprise c’était le divorce de mes parents quand j’étais en seconde ; mon père était resté en Egypte pour sa chocolaterie qu’il a monté grâce au savoir-faire de mon grand-père français. Ça m’a vraiment marqué mais en même temps ça m’a énormément construit. La « graine » du tout début était semée… Tous les passages que je jugeais négatifs depuis notre retour en France, j’ai appris à en tirer du positif.

Apparition du mindset gagnant

Mon intérêt pour la liberté financière, qui était déjà présent mais encore au stade de « rêve », s’est développé une première fois grâce à ça.

J’étais malgré tout toujours dans l’optique de faire des études (malgré mon niveau moyen à l’école), d’avoir un job bien payé et d’avoir des projets à côté pour diversifier mes revenus et ne pas dépendre que d’une seule source d’argent. Ce qui m’aurait apporté beaucoup d’argent certes mais quel temps me serait-il resté ?

J’ai commencé à suivre des entrepreneurs américains sur mon réseau social préféré, Instagram ; ça a cultivé cette motivation. Je ne voulais plus dépendre de personne pour ne plus être déçu, comme quand ma mère me disait qu’elle n’avait pas assez d’argent pour que l’on aille voir notre père avec mes frères et sœurs par exemple. C’était une de mes principales motivations à court terme.

Les années passèrent jusqu’à la terminale où j’ai vraiment pris conscience que l’on pouvait réussir sans étude et devenir libre dans tous les sens du terme. Mes amis se moquaient de moi d’ailleurs (maintenant, ils observent). Je continuais les études pour mon entourage, parce qu’ « il faut faire des études voyons », tout le monde fait des études sinon « tu n’es pas normal ».

Le meilleur échec de ma vie

Le troisième et plus grand tournant de ma vie fut l’échec du baccalauréat. C’est à l’instant précis des résultats que je me suis dit « mais qu’est-ce que tu fais de ta vie ? Tu es en train de faire quelque chose, tu ne sais même pas pourquoi, qui ne te mènera pas à tes objectifs. Tu fais ça pour les autres et pas pour toi. Ne rentre pas dans le moule, prouve à tout le monde que c’est possible et que tu vas avoir la vie dont tout le monde rêve tout en faisant ce que tout le monde fait.» (La dernière phrase est vraiment à méditer !)

Pour moi c’était clair que je n’avais pas besoin de diplôme pour réussir ma vie et que je ne voulais pas le repasser. Mon entourage m’a pris pour un fou encore une fois… J’ai donc repassé le bac en candidat libre pour éviter les problèmes avec ma famille et j’ai commencé à faire de l’intérim en usine (vu que la vie est bien faite, ma mère était bien contente que j’arrête les études et que je travaille pour subvenir aux besoins quand elle ne le pouvait plus physiquement).

Ça m’a donné encore plus la rage de réussir et ça m’a renforcé dans mon idéologie. Je ne comprends pas comment on peut croire que la vie c’est faire quelque chose que l’on n’aime pas « parce que c’est comme ça ».

Je savais donc qu’un jour j’allais réussir. La graine semée au tout début a vraiment germé à ce moment-là. D’ailleurs dans ma tête j’ai déjà réussi, c’est juste que la réussite « physique » met plus de temps à venir.

La petite traversée du désert

Je n’avais pas d’idée concrète de comment j’allais réussir. J’ai testé plusieurs business foireux sans succès et un jour j’ai décidé de réunir une communauté instagram autour du mindset que j’ai. Tout simplement car j’étais incompris et je voulais réunir ceux qui avaient la même vision des choses pour ouvrir les yeux à un maximum de monde.

Pour vous dire, c’est depuis l’échec au bac mais encore plus précisément depuis l’ouverture de ce compte instagram que tout a commencé. Ça m’a ouvert d’énormes portes… comme celles de FWA.

Un jour de chômage, un confrère d’instagram avec qui nous discutons régulièrement m’a proposé d’intégrer FWA. Je savais ce qu’était le trading (théoriquement tirer profit à la hausse ou à la baisse des marchés financiers) mais je ne savais pas trader, je n’avais pas les connaissances nécessaires. Je connaissais également le principe du revenu résiduel rendu possible grâce au marketing relationnel. J’ai donc directement sauté sur l’occasion. Aujourd’hui je vois FWA comme la base de ma future fortune et liberté, clairement.

À défaut de ne pas du tout savoir comment ni par où commencer, j’ai aujourd’hui, grâce à FWA une multitude de sources de revenus sous la main. Pas moins de 3. À commencer par le trading, le fait d’être ambassadeur FWA, l’immobilier et bien sûr, les relations au sein de la communauté qui peuvent donner naissance à de magnifiques aventures.

Ce qu’il faut tirer de cette histoire

Tout ceci je l’ai écrit pour vous dire que je suis encore loin de mes objectifs mais que je suis la preuve vivante qu’il y a toujours du positif à tirer des choses négatives qui nous arrivent, qu’il ne faut jamais se plaindre mais être convaincu que l’on peut changer les choses et le faire.

Je suis également la preuve vivante que la chance n’existe pas ! Il faut la provoquer comme je l’ai fait avec ma page, sans ma page (j’irais même jusqu’à dire : si nous n’étions pas revenus en France en catastrophe) je n’aurais pas eu les horizons que j’ai aujourd’hui, je n’aurais sans doute pas été parmi FWA aujourd’hui, ou du moins beaucoup plus tard… et d’ailleurs vous ne seriez pas en train de lire ce magnifique article passionnant au fond de votre siège avec votre thé ou café

Voilà mon histoire depuis mon enfance jusqu’à aujourd’hui.

Merci à tous d’avoir lu jusqu’au bout.

Samy Ahmed,
Entrepreneur et ambassadeur FWA

L’article Récit de vie – Le parcours de Samy Ahmed est apparu en premier sur Become a Freedom and Wealth Architect.

Souvent, j’ai entendu dire que…

« les femmes n’ont pas autant de chances de réussir que les hommes dans les affaires », « elles ont moins de poids et sont moins crédibles », ou alors « j’ai envie d’entreprendre, mais je ne suis pas comme toi… je ne fais pas les choses aussi bien que toi, je n’y arriverai pas. »

Pour moi, tout le monde a les mêmes chances.

Nous avons tous autant de chances de réussir, tous autant de chance d’atteindre nos rêves et d’obtenir ce que l’on veut. Il faut juste savoir tirer profit de nos différences. Évidemment nous sommes tous différents, nous avons tous des qualités et des défauts qui nous sont propres. Les différences hommes/femmes sont les plus « visibles » car elles sont avant tout physiques, de ce fait nous pouvons y prêter plus facilement attention ; mais une femme a autant de chances de réussir qu’un homme. C’est aussi le cas pour quelqu’un de timide et renfermé ; il a autant de chances de réussir que quelqu’un à l’aise socialement !

Ce n’est pas une question d’homme ou de femme, de timide ou d’extraverti, mais juste de nature humaine.

En effet, lorsque nous arrivons dans ce monde nous sommes tous dotés d’un ADN différent. Ce qui, avec l’éducation que nous recevons et les expériences que nous vivons, forgent la personne que nous sommes. Certains sont timides, d’autres extravertis, certains sont grands, d’autres petits… Il y a beaucoup de choses qu’on ne peut modifier, il faut donc composer avec et les accepter. En plus de nos qualités, nos centres d’intérêts et nos passions différent également. Certains aiment le foot, d’autres préfèrent la danse, certains aiment la musique, d’autres les jeux vidéo…

Heureusement d’ailleurs. Imaginez-vous un monde où nous serions tous pareils, où nous aurions tous les mêmes qualités ou les mêmes défauts ? Heureusement qu’il y a autant de diversité.

À partir de là, ce n’est qu’une question d’adaptation.

À partir du moment où nous prenons conscience que nous sommes tous différents, que nous avons des qualités et des capacités différentes, cela ne sert à rien d’essayer de se battre avec les armes d’un autre. Il faut jouer avec nos propres atouts, utiliser nos propres points forts et insister sur nos qualités plutôt que d’essayer de combler nos faiblesses ; c’est contre-productif d’essayer de ressembler aux autres et de faire comme eux, ce n’est pas le meilleur moyen d’avoir les mêmes résultats, voire de meilleurs résultats.

Certaines personnes font les choses d’une telle manière car c’est dans leur nature à elles de les faire ainsi. Vous, vous avez des atouts différents ; vous êtes extraordinaire à votre façon !

Il vous faut simplement savoir en quoi. Vous avez juste à trouver vos qualités, insister dessus, les travailler au maximum pour devenir encore meilleur que les autres et les utiliser pour atteindre vos objectifs !

Soyez vous-mêmes, tous les autres sont déjà pris.

Par exemple, pour apprendre certains préfèrent lire, d’autres préfèrent écouter et d’autres encore écrire… vous avez votre propre méthode qui vous convient et si vous changez de méthode vous serez probablement beaucoup moins efficace, alors pourquoi changer pour faire comme les autres ?

Quand nous devenons entrepreneur, c’est exactement pareil.

Vous êtes meilleur que n’importe qui dans certains domaines, il y a certaines choses que vous savez mieux faire que les autres et c’est là-dessus qu’il faut insister ; non pas sur vos faiblesses/vos points faibles, mais bien sûr sur vos qualités et les exploiter à 200%.

De plus, c’est beaucoup plus plaisant de travailler ses points forts plutôt que ses lacunes.

Rappelez-vous : il n’y a jamais qu’une seule façon de faire quelque chose, il y a toujours plusieurs moyens et plusieurs chemins possibles. Trouvez simplement celui qui vous correspond le mieux, avec lequel vous vous sentirez le plus à l’aise et qui met en avant au mieux vos qualités.

L’article Insistez sur vos points forts, ne perdez pas d’énergie à devenir quelqu’un d’autre est apparu en premier sur Become a Freedom and Wealth Architect.

Ce n’est pas 10% ou même 50%… mais bien 95 % ! Personnellement ce chiffre m’a surpris lorsque je l’ai lu pour la première fois (j’ai d’ailleurs eu besoin de le relire plusieurs fois).

Selon une étude du Professeur David McClelland, socio-psychologue à l’Université de Harvard, les personnes qui vous entourent déterminent à près de 95% votre réussite ou votre échec !

Mais si nous y réfléchissons bien, ne vous êtes-vous jamais surpris à dire la même chose que l’un de vos proches ou bien à avoir la même idée au même moment ?

Je suis sûr que cela vous est déjà arrivé.

Aussi, lorsque vous marchez dans la rue avec quelqu’un, n’avez-vous jamais remarqué que souvent vos pas vont exactement à la même fréquence ? C’est bien qu’il y a effectivement quelque chose. Mais le plus troublant (et amusant) est le fait qu’en général nous ne sommes même pas conscients de toutes les similarités qui nous unissent à nos proches.

« Nous devenons la moyenne des 5 personnes avec qui nous passons le plus de temps. »  Jim Rohn

Notre façon de vivre, que ce soit par rapport à notre santé, à notre comportement ou à notre salaire, correspond à celle des gens qui nous entourent. Pourquoi ? Simplement car ceux avec qui nous passons le plus de temps déterminent le type de conversation que nous avons, la nourriture que nous mangeons, le genre de comportements ou d’opinions auxquels nous sommes exposés. À force, nous commençons à penser comme eux, à manger comme eux, à regarder et lire la même chose qu’eux et même à penser comme eux ! Le plus souvent nous ne remarquons même pas l’impact de nos proches sur notre personnalité car ces changements ne se font pas en une journée. C’est le résultat de longs moments passés avec eux, de longues périodes d’influence mutuelle.

Pour illustrer l’idée, j’aime utiliser cette citation de Darren Hardy :

 « Leur influence est si subtile, qu’elle revient à nager dans l’océan en ayant l’impression de faire du sur place, avant de lever la tête et de se rendre compte que le courant nous a imperceptiblement poussé à un km du rivage. »

Par exemple, si vos amis ont l’habitude de sortir trois fois par semaine en rentrant très tard et (très) alcoolisés et si vous commencez à sortir régulièrement avec eux, vous allez rapidement boire une bière en plus ou un autre verre de vin pour les accompagner et vous serez sûrement plus enclin à sortir avec eux ensuite.

Pendant ce temps-là, vos autres amis sportifs se reposent et lisent des choses inspirantes, en sachant très bien que pour être productif le lendemain il n’y a rien de mieux qu’une bonne séance de sport et des plats diététiques : un esprit sain dans un corps sain !

Je vous laisse imaginer les résultats sur le long terme en passant du temps avec votre premier groupe d’amis ou avec le second.

L’influence de vos amis et des personnes avec qui vous passez le plus de temps est très subtile et pourtant elle a un impact incroyable sur vous. L’environnement dans lequel vous évoluez est très important, parfois il peut être destructeur alors qu’à d’autres moments il peut aussi énormément vous apporter.

Alors prêtez attention à la question suivante : est-ce qu’en termes de projets professionnels, d’ambitions et d’habitudes, la moyenne des 5 personnes avec lesquelles vous passez le plus de temps correspond à vos rêves ?

Si la réponse ne vous convient pas, rien ne vous empêche de vous rapprocher des personnes ayant déjà les qualités que vous désirez développer, les comportements, les attitudes ainsi que les mentalités que vous souhaitez acquérir. Ainsi, en les fréquentant assez longtemps, leur influence impactera votre vie quotidienne et vous commencerez petit à petit à avoir les mêmes résultats qu’eux. C’est simplement à vous d’en prendre conscience et de faire ce choix en accord avec ce que vous désirez.

N’oubliez jamais que les relations que vous entretenez peuvent soit vous rapprocher de vos rêves, soit vous en écarter !

Vous avez le pouvoir de choisir votre cercle d’amis, alors servez-vous en judicieusement.

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Toute personne qui entreprend quelque chose, ou qui essaye de faire quelque chose de nouveau se demande :
Est-ce que j’ai ce qu’il faut pour y arriver ? Est-ce que je pourrai le faire ?
 Est-ce que j’ai les compétences requises ?

Beaucoup se demandent aussi :
Qu’est-ce que ceux qui ont extrêmement réussi ont de plus que moi ? Étaient-ils simplement au bon endroit au bon moment ? Ont-ils eu de la chance ? Avaient-ils juste de meilleurs diplômes ou de meilleures formations ?

La réussite ou l’échec n’est pas question de tout ça.
En y regardant d’un peu plus près, on se rend compte que tous ceux qui réussissent ce qu’ils entreprennent partagent certaines qualités ou traits de caractère.

Voici donc 7 qualités/traits de caractères qui peuvent grandement vous aider à atteindre vos objectifs :

1. Aimer les autres sincèrement.

Ceux qui réussissent vraiment dans leur vie aiment sincèrement ceux qui les entourent, mais aussi tous ceux qu’ils ne connaissent pas encore, sans aucun préjugé. Ils ne regardent pas leur niveau de richesse ou d’études. Ainsi, ils peuvent facilement rencontrer des nouvelles personnes et sont appréciés très rapidement !

2. N’exclure personne (encore moins ceux qui vous aident)

Essayez de toujours faire en sorte d’inviter le maximum de monde à un événement, que ce soit un événement en rapport avec votre activité ou un événement plutôt détente. Comment ne pas apprécier quelqu’un qui prend le temps de partager ce qu’il fait avec vous ?

3. Prenez le temps d’aider

Même si vous êtes très occupé et que votre emploi du temps est surbooké, faites toujours votre maximum pour aider tous ceux qui pourraient avoir besoin de vous. Que ce soit pour vos compétences, votre expertise, partager vos connaissances, ou simplement un déménagement ou une aide quelconque, essayez au maximum d’être disponible pour aider !

Ainsi vous augmenterez grandement la reconnaissance que ces personnes auront envers vous.

4. Gardez l’esprit ouvert

L’une des principales erreurs commises est que souvent les gens pensent qu’ils savent tout mieux que les autres. En plus de donner l’impression qu’elles ne sont pas très agréables au cours de conversations, ces personnes ne gardent pas leur esprit ouvert à de nouvelles idées ou à d’autres façons de penser ! Garder l’esprit ouvert permet de rassembler le plus d’informations possible et d’augmenter vos connaissances sur des sujets variés et ainsi de mieux vous armer pour prendre vos décisions.

Dites-vous que chacune des personnes que vous rencontrez, chaque discussion, peut vous apprendre quelque chose que vous ne savez pas. Chaque rencontre est donc pour vous une belle opportunité de progresser !

5. N’attendez jamais rien en retour

Ne faites pas quelque chose pour le retour ou le bénéfice que vous pourriez en tirer, mais faites-le pour aider sincèrement ceux qui en ont besoin ! Votre aide ne sera que plus appréciée si elle est donnée de façon sincère, sans arrière-pensée.

6. Rien n’est trop bien ou trop mauvais

Ceux qui réussissent vraiment ne demandent jamais aux autres de faire quelque chose qu’ils ne feraient pas eux-mêmes ! C’est une règle d’or que tout grand leader applique à toutes les tâches qu’il délègue aux autres. Ils sont toujours prêts à faire le travail eux-mêmes s’il le faut et ils le seront toujours. Ainsi ils montrent l’exemple et gratifient chaque tâche effectuée.

7. Rien n’est acquis

Parmi les personnes les plus riches du monde, nombreuses sont celles qui n’ont jamais fait de brillantes études ou hérité d’une fortune familiale. Beaucoup d’entre elles sont ce qu’on appelle des « Self-made Man » ; ils croient davantage au fait de travailler dur et ils le font chaque jour sans relâche jusqu’à atteindre leurs objectifs !

A vous maintenant d’essayer d’appliquer ces différentes qualités à votre quotidien.

Ceux qui réussissent vraiment à atteindre leurs objectifs donnent de leur personne aux autres, ils prennent soin de leur entourage et ils leur transmettent de l’énergie positive. En réussissant à cultiver la gratitude et la fidélité autour de vous, vous serez en bonne voie pour réussir tout ce que vous entreprendrez.

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Alex Todorov, de Princeton, a démontré que l’analyse des visages des candidats politiques pendant une seule seconde prédit 70% des résultats des élections des sénateurs et gouverneurs américains.

Nalini Ambady, une chercheuse de Tufts University, a démontré que lorsque des gens regardent une vidéo de 30 secondes, sans son, sur des interactions réelles médecin-patient, leur avis sur la gentillesse du médecin prédit si oui ou non le médecin sera poursuivi en justice.

Le langage corporel est quelque chose de passionnant.

Ce qui nous intéresse en général ce sont les façons d’interpréter le langage corporel des autres ; essayer de comprendre ce que cela veut dire, mais aussi savoir comment les autres nous jugent suite aux gestes que nous exécutons et quelles en sont les conséquences.

Mais nous oublions trop souvent une autre personne affectée par notre langage non verbal : nous-mêmes ! Nous sommes aussi énormément affectés par notre langage corporel et non verbal, nos pensées, nos sentiments et notre physiologie.

J’ai décidé de partager avec vous aujourd’hui cette vidéo très intéressante sur ce sujet, réalisée par Amy Cuddy lors d’une conférence TED Talks. Psychologue sociale et spécialiste des préjugés, elle s’est particulièrement intéressée aux expressions non verbales de pouvoir et de domination.

Dans cette vidéo, elle soulève une question très intéressante : nous savons que notre langage corporel influence fortement ce que les autres pensent et ressentent à propos de nous, mais est-ce que notre langage corporel influence aussi ce que nous pensons et ressentons de nous-mêmes ?

Réponse en vidéo !

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